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The seven deadly sins
24 avril 2006

I Could Have Lied, Red Hot Chili Peppers, 1991

red_hotUn des costumes les moins ridicules des 80's...

Alors que nos king de LA sont en couv' et à l'honneur ce mois-ci chez Rocknfolk, en vue de leur prochain album, il fallait bien que je les mentionne un jour ou l'autre ici. En fait, c'est un peu un groupe comme Queen, il y a des chansons bien, mais il faut trier, les parties de rap de Kiedis, par exemple, me laissent de marbre, pour rester poli...
Bien que nos Piments disposent d'un des meilleurs bassistes de rock, en l'occurence Flea, ils ont usé pas moins de 7 guitaristes, dont un des membres fondateurs, Hilel Slovak, mort d'une overdose en 88, avant de garder John Frusciante, qui avait déjà officié pour Blood Sugar Sex Magik.

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Commentaires
D
C'est vrai que Manoeuvre j'aurtais tendance à m'en méfier un peu .. pour tout t'avouer se sont ses lunettes qui me dérangent.<br /> il a réussit l'exploit d'en trouver une paire aussi moche que celles de Dylan dans Infidels.. de la à dire qu'il manque de goût il n'y a qu'un pas..
S
Hem, loin de moi l'idée de critiquer le bouquin de Manoeuvre (je l'ai), mais j'accorde un peu moins de crédit à ce bonhomme qui se veut "rock-critic", et qui n'aime pas les Smiths, et qui met Trout Mask Replica parmi les 101 disques qui ont changé le monde (on me l'a offert, ce livre !). En plus, il vénère les Stones, crime passible d'écoutage de Lorie...<br /> Pour en revenir aux Red Hot, j'aurais pu mettre My Friends, c'est vrai, mais il faut choisir, une prochaine fois peut-être.
D
Mmmh John Fusciante oui .. Et que pense-tu de Dave Navarro? Il n'a joué que sur un seul album (contrairement à Fusciante qui est un peu le grateux officiel de la clique) mais putain quel album ! Je crois qu'il qu'il a été classé dans les 101 disques qui ont fait changer le sens de rotation de la planète dans le dernier bouquin de Mr Manoeuvre et c'est pas étonnant: Navarro et sa rythmique hard funk soutenue par un Flea qui nous offre une ribanbelle de solo de cette basse rebondissante que Chad Smith s'est toujours employé à saisir au vol , le tout enguirlandé d'une wha-wha reverb dégoulinante mais jamais dégueu. Et la cerise c'est ce chant baigné du soleil de la californie et ses paroles délicieusement débiles (faut avouer que certaines fois on atteind presque le niveau Beach Boys quand même...)Enfin voilà quoi! Un disque qui s'il devait être personnifié se matérialiserait sans doute sous la forme d'un panard chaussé de Santiague pointues et cloutées prêt à s'écraser contre les fesses encore roses et innocentes de n'importe quel mélomane aussi blasé soit-il. En tout cas en ce qui me concerne je vous raconte pas l'état de mon derche...
The seven deadly sins
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